Au sujet de la fable sur la création monétaire ecrite par Louis Even le 15 septembre 1936, dans "Crédit Social"

Afin d’aider à comprendre la création monétaire historique (de monnaie non libre) cette fable est très sympa .

Dans sa lecture j’ai reperé deux phrases fondamentales selon moi qui permettent d’affirmer que la solution décrite de « credit social » (tentée pour la première fois d’être définie et experimentée par Proudhon dès 1840) se rapprochait du DU démontré dans la TRM mais sans l’avoir trouvé :

« Si l’un de nous a besoin d’argent pour augmenter sa production, on lui ouvre le crédit nécessaire, sans intérêt. Il rembourse le crédit une fois la production vendue. Même chose pour les travaux publics. »

« On augmente aussi, périodiquement, les comptes de chacun d’une somme additionnelle, sans rien ôter à personne, en correspondance au progrès social. C’est le dividende national L’argent est ainsi un instrument de service. »

qu’en pensez vous?

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Incontournable…

Le fait est que le banquier ne vous prive jamais de tout, ce n’est pas son « intérêt » (ici intérêt prend tout son sens)
Grâce au crédit il vous assure seulement le manque.

Pour ce qui est de la Ğ1, elle est votre pouvoir sur vous même, et vous seul pouvez vous en priver.

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@Mateo
Au fait, je préfère partager cette fable à partir de ce lien, nettement plus neutre en matière de croyances.
http://www.creationmonetaire.info/2009/01/lile-des-naufrages.html

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J’ai fait un fichier ePub pour liseuse ou logiciel de lecture de ePub :

Lile des naufrages - Louis Even.epub.zip (312,3 Ko)

Merci à Louis Even pour sa fable toujours pertinente !

Enjoy. :sunglasses:

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